Billet (aigre) doux
Articles publiés dans cette rubrique
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Insertion sociale
Qui a dit que le gouvernement ne se préoccupait pas de l’insertion ?
Deux exemples démontrent le contraire pour deux catégories de la population bien éprouvées par les circonstances de la vie et en grand besoin d’aide à la réinsertion : les grands serviteurs de l’Etat et les anciens de l’armée. Jugez en (...)
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Les vautours
Mme D est décédée en septembre 2004 de ce qu’on appelle parfois pudiquement une longue et douloureuse maladie qui l’a bien faite souffrir pendant 7 ans. Elle avait 55 ans - ce qui convenons-en n’est pas des plus vieux pour mourir - laissant à son fils unique 4 meubles branlants et un dossier de (...)
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L’ impôt révolutionnaire
Nous l’avons appris avec joie, sur proposition d’un sénateur socialiste (donc de gauche) et de Savoie (qui plus est) le Sénat (donc de droite) a adopté en 1re lecture un texte (voir lien ci-après) qui autorise les péages en montagne !!!
Voilà une mesure révolutionnaire qui ouvre des perspectives (...)
« Ah, mais je ne peux rien faire, moi, c’est le traitement informatique »
Après un mois d’attente, vendredi 30 décembre, je n’avais toujours pas reçu de réponse de l’Assedic à ma demande d’ouverture de droits.
Je me suis donc rendu à l’antenne dont je « dépends » pour faire débloquer mon dossier. Comme la « conseillère » me sortait l’habituelle rengaine : « Ah, mais je ne peux rien (...)
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Le mot magique
Avant, dans des temps lointains, mais pas trop quand même, la langue française s’embarrassait inutilement de mots différents et fort nombreux pour désigner une seule et même personne quand celle-ci faisait appel à un service public.
Ainsi on était tour à tour usager aux PTT ou à EDF contribuable aux (...)
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Les déboucheurs de chiottes
J’ai toujours eu le plus grand respect pour les déboucheurs de chiottes.
C’est un métier pénible qui demande rigueur, patience et minutie. Qui oblige à une mobilité constante puisque par définition l’opérateur n’intervient jamais sur le même chantier. La spécificité de ce métier fait que l’on intervient (...)